Hello hello la compagnie! Quel plaisir (et soulagement) de vous retrouver et de démarrer cette nouvelle aventure Varavroum-esque. Après avoir formanté pendant près de 3 mois un plan A nous emmenant en Écosse ; la motarda réalisa que « pas de passeport, pas d’Écosse ». Nous avons alors bien rebondi et élaboré un super plan B. Nous voilà donc partis hier matin : réservoir rempli, moto chargée et motivation chargée à bloc… il nous fallait au moins ça pour avaler sans broncher les 500 km d’autoroute de l’ itinéraire du jour. Après près des alternances crachins-soleil, arrivent le tunnel du Fréjus puis les enfilades de tunnels et autres barrières de péage. Quand à l’une d’entre elles, en arrivant sur Milan la moto semble exploser et une fumée blanche envahit l’avant de celle-ci. Là, notre optimiste était au plus haut et el motardo a lâché un « je crois que les vacances sont finies ». Voilà, voilà comment un dimanche d’août, on doute (si si j’assume… ça et le titre foireux) . Pour vous la faire courte on a pu faire quelques kilomètres encore avec une moto qui ronronnait chelou, dormi en banlieue milanaise, attendant qu’enfin arrive ce matin l’horaire d’ouverture des garages moto. Après 2h à rôder sur un périmètre restreint et à déchiffrer des répondeurs de mécaniciens en vacances, on est arrivés chez un mec bien sympa qui a promis de s’occuper de la Vara dans l’après-midi. C’est donc les yeux rivés sur le téléphone dans l’attente de nouvelles que nous avons pris le tram pour Milano, apprécié les jolis édifices de la de la cité lombarde, goûté de très bonnes pâtes… et beaucoup tourné en rond sapés en motards sous une chaleur écrasante. In fine, le gentil docteur des motos nous a WhatsAppés un super message « moto pronta ». Et voilà, il avait sauvé nos vacances.
Bref, à tout de suite sur les routes.
Hiiiihaaaa los motardos.